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Cours d'éducation avec Madame Leglodin

Cours d'éducation avec Madame Leglodin

C’est la rentrée ! Et la question qui vous obsède le plus est de savoir si la prof de français de votre petite tête blonde est toujours là cette année et, surtout, si elle est toujours aussi bonne. Ne vous êtes-vous jamais demandé d’où venait cette envie qui vous pousse à attendre patiemment la réunion parents/professeurs pour pouvoir plonger la tête dans son décolleté saillant ? On vous explique tout !

On garde tous le souvenir ému de cette prof si sexy, penchée au-dessus de notre petit bureau d’écolier, la paire de loches collée à notre visage, nous expliquant un problème de maths en dandinant son cul ! Ne mentez pas, on s’en souvient tous ! Bon après, pour ceux qui ont eu Monsieur Fournier, l’instit à l’haleine fétide, en CE2, pas de chance pour vous…

UN FANTASME PAS TOUT FRAIS

Depuis le début du XXe siècle, le mystère insondable de la prof coquine est un fantasme, curieux et amusant, qui n’en demeure pas moins très fortement répandu. Pourtant, cette fantaisie ne date pas d’hier et, pour être parfaitement exact, il faut remonter à la Grèce antique où baiser avec ses profs était assez courant et même accepté par les parents qui voyaient dans cette pratique une bonne manière de transformer un enfant en homme. Autre temps, autres moeurs…

À cette époque, où la bisexualité était bien mieux acceptée qu’aujourd’hui, le rapt Grégeois consistait, comme son nom l’indique, en l’enlèvement de « l’élève » et en une formation sexuelle par le professeur. Autant dire que Socrate ne se faisait pas chier entre deux « ce que je sais, c’est que je ne sais rien ». Ainsi apprend-on qu’à cette époque, la sodomie avait une valeur « hautement pédagogique » [on espère que vous suivez le raisonnement] et qu’elle était propice à l’apprentissage intellectuel. Ouais, enfin vous ne nous ôterez pas de l’idée que les profs se faisaient bien plaisir et que ce n’était pas super fun pour l’élève.

J’CROIS QU’J’AI VU UN DOMINÉ !

Plus tard, lorsque les femmes furent acceptées dans les écoles en tant qu’enseignantes, les premiers coquins avides de vieilles filles autoritaires sont apparus. Ce n’est pas pour rien, qu’aujourd’hui encore, on peut retrouver des dessins amateurs de Mademoiselle Mangin, la directrice tyrannique de Princesse Sarah, en tenue de dominatrice, la poitrine proéminente, une cravache à la main, prête à rougir les culs des vilains garçons.

Car le fantasme de l’institutrice est quand même vachement rétro et date d’une époque où c’était encore sympa de brûler le cul des gosses au fer rouge parce qu’ils papotaient en classe. Et si aujourd’hui, Ghislaine, la mère du petit Antoine, rêve de se faire baiser sur le bureau par Monsieur Deckoninck, le prof de Math, pendant la réunion parents/profs, il est plus communément acquis que les hommes fantasment encore de se faire fouetter le cul par une femme à chignon parce qu’ils ne sont pas capables de ressortir leur table de deux. Cette envie, donc, est profondément solidaire de la domination.

« AMEN TA MÈRE QUE J’TE RECOMMENCE »

Ce que l’on apprend également, lorsque l’on fait quelques recherches approfondies sur le fantasme de la professeur, c’est que ce qui peut attirer, lorsqu’il ne s’agit pas d’un simple fétichisme esthétique, c’est le savoir, l’amour des gens qui nous enseignent quelque chose et qui peuvent avoir une supériorité intellectuelle ou, au moins, l’ascendant sur nous en matière de savoir et de connaissances.

De ce fait, une personne, que la vue d’une enseignante excite, pourra tout aussi bien être attirée par une religieuse, une médecin ou une philosophe. « Tu la sens, ma métaphysique des moeurs ? J’te défonce avec ma critique de la raison pure, salope ! »

BRIGITTE, MA BITE !

Ne vous inquiétez pas, si c’est votre kif, vous êtes loin d’être le seul ! D’ailleurs, dans les plus hautes sphères de la société [et de l’État, donc] on retrouve ce genre de fantasmes étranges. Notre président de la République, Emmanuel Macron, est même allé jusqu’à épouser sa prof de français ! Alors, véritable coup de foudre ou simple coup de foutre ? Il faut dire que l’on imagine bien la Brigitte en cuissardes rose fuchsia, une règle à la main, faisant réciter à Manu du José-Maria de Heredia avec une douloureuse pince à linge sur la langue.

C’est bien connu, les hommes et femmes politiques sont très réceptifs à ce genre de pratiques et, vu que Marion Maréchal est récemment devenue la directrice d’une école de sciences politiques, on a tendance à penser que ça pourrait être sympa d’avoir un petit entretien avec elle, dans son bureau et qu’elle nous fasse copier des lignes. Maréchal ! Nous voilà !

LE PORN AIME L’ÉCOLE !

Flairant le bon coup, les producteurs de X se sont rapidement rués sur ce type de fantasmes et en ont fait un cliché du porno. Ainsi, avons-nous pu voir fleurir des titres par centaines tels que L’École de la perversion, produit par Colmax, L’Auto-école, tout est permis ! [JTC], ou encore Katsuni à l’école des infirmières, par Blue One. À travers différents thèmes comme l’auto-école ou les écoles spécialisées, le porno français ratisse large et parvient même à séduire les amoureux des infirmières et les mécanophiles…

Car en soi, ce qui excite, c’est avant tout une tenue, un comportement, une attitude. Le métier de prof n’est pas nécessairement bandant. Sur ce point, nous pourrions donc aisément rapprocher l’attirance pour les profs d’un fétichisme vestimentaire qui, lui, est bien plus répandu.

Retrouvez la suite de cet article dans le magazine Lana Rhoades ne jure que par l'anal

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